Le traffic de drogue


Le traffic de drogue reste la plus grande source de revenus des Yakuza, notamment la vente de méthamphétamine. Cette drogue est appellée au japon le diamant blanc (shabu). Les Yakuza en écoulent dans le monde entier mais plus particulièrement au japon et en Asie du sud-est.

Au japon l’usage de cette drogue remonte à la Seconde Guerre mondiale. Le gouvernement distribuait cette drogue aux travailleurs, aux soldats et aux pilotes kamikazes. Elle fut interdite en 1948 mais la consommation explosa à partir des années 70.

Les principaux clans yakuza ont des laboratoires et ateliers de fabrication de drogue au japon mais aussi dans toute l’asie, en particulier en corée du sud. Les gangs s'affrontent régulièrement pour le contrôle des quartiers afin d'écouler le maximum de drogue, notamment dans les quartiers branchés de la capitale, comme le quartier d'Harajuku.

La grande peur que connurent les autorités japonaises en matière de traffic de drogue avec les yakuza fut dans les années 90, la tentative d’alliance entre les principaux syndicats yakuza et les cartels colombiens, sur le traffic de cocaïne. Cette alliance aurait été dévastatrice car ils auraient formés ensembles le plus puissant syndicat du crime du monde. Heureusement, pour une raison inconnue cette alliance a échouée et la « tempête blanche » ne s’est pas déchainée sur le japon et le reste du monde.

Il n’en reste pas moins que la consommation de cocaïne est importante au japon et que les yakuza en contrôlent toute la chaîne, de l’importation/fabrication à la vente.

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